Trop, c’est trop
A propos de l’article «Des ruisseaux de CO2» paru dans «Les Alpes» 12/2019
Je peux encore raisonnablement comprendre que le CAS se déclare depuis longtemps être une association de protection de la nature. Par contre, le soutien d’une initiative contre les changements climatiques soulève de nombreuses questions. Toutefois, l’article paru dans l’édition de décembre sur les ruisseaux et le CO2, c’est le bouquet! Je ne peux comprendre que le CAS participe à ces bêtises motivées par des raisons politiques. Je pensais être membre d’une association de montagne, pas d’un parti écofachiste. Trop, c’est trop. Après 29 ans d’affiliation, je quitte le CAS avec effet immédiat. Dommage. Je trouve l’engagement politique du CAS tout à fait discutable.